AfriWatSan

Du 21 novembre au 11 décembre 2016, l’équipe interdisciplinaire (eau souterraine, assainissement, santé) de l’Université de Nairobi a conduit des analyses de qualité de l’eau à Kisumu aussi bien dans une zone urbaine un très peuplée (Obunga, Manyatta), que dans une zone péri-urbaine moins peuplée (Kanyakwar). L’équipe, comprenant le PI, deux Co-PI, un géophysicien, le doctorant, 4 techniciens de Laboratoire, 2 étudiants en Master et un chercheur en doctorat de Santé publique a conduit des tests rapides sur les coliformes fécaux mais aussi des analyses de hydro-chimiques utilisant l’appareil de contrôle de la qualité des eaux nouvellement acquis « Hydrolab Quanta » et le kit de laboratoire « Wagtech » pour la qualité de l’eau potable (les Figues 1 et 2) et les tests géophysiques (Sondages électriques verticaux) pour évaluer la profondeur par rapport au substratum (à la base) dans l’Observatoire Urbain de Kisumu du projet AfriWatSan.

La figure 1 :  dossier sur l’échantillonnage d’eau, les test s rapides sur la contamination fécale et le profilage géophysique dans l’Observatoire de Kisumu entre le 21 novembre et le 11 décembre 2016

Les résultats du test de qualité de l’eau (Table 1 et image 3) de source, de l’eau de surface, des puits peu profonds et des forages confirment que l’eau souterraine peu profonde à Kisumu est vulnérable à la contamination par des polluants fécaux.

Figure 2: Échantillonnage d’eau et tests utilisant le kit Hydrolab Quanta.

Table 1: Propriétés Physio-chimiques de l’eau souterraine provenant de puits peu profonds à Kisumu.

Onze VES ont été conduits pour déterminer les sites appropriés pour la construction de piézomètres et l’installation conséquente de dataloggers le long de coupes transversales prédéterminées dans la zone d’étude à Kisumu (la Table 2).

Table 2:  Profondeur par rapport au substratum de l’aquifère peu profond de Kisumu basé sur l’interprétation VES.

Figure 3: Analyse comparative de la contamination des sources  d’eau souterraine à Kisumu.